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À la loupe / Gaétan Gautelier & Violaine Desportes

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Au hasard d’une rencontre artistique tissée à travers les réseaux sociaux, peut surgir l’occasion de confronter deux univers qui se rejoignent par les détails et la minutie du dessin. Telle est la genèse de l’exposition « À la loupe », à voir absolument du 2 au 6 février 2022, qui présente et fait dialoguer les univers graphiques de Gaétan Gautelier et Violaine Desportes.

Violaine Desportes : Quelque chose se trame. L’action a-t-elle déjà eu lieu ? Va-t-elle se passer ? Ou bien est-elle prise sur le vif ? Une narration qui nous laisse sur le seuil. Dans cette ambiance polar, le spectateur fait figure d’enquêteur. Un enquêteur qui doit remettre les éléments dans l’ordre. Au gré de ses déplacements sur la pellicule, de la libre association des séquences entre elles, des hypothèses se dessinent, se bousculent, se superposent, se contredisent. La série de dix-huit dessins « Peut-être » a été réalisée au stylo bille dans le courant de l’année 2021.

Gaétan Gautelier : Patience est le maître-mot. Le geste répétitif et pointilliste recréé, d’après photo et sans l’aide de dessins préparatoires, l’image. L’accident ou le hasard fait que le dessin pose sa singularité pour se différencier de son modèle. Parler de soi ? Une entreprise bien laborieuse et périlleuse. Ces réalisations sont les prémices silencieuses d’un projet autobiographique. Ou plus précisément, elles sont inspirées de ma vie pour ainsi me laisser une liberté d’écriture et vous laisser l’espace pour vous approprier le récit.

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Solo show – Sophie Bourgenot

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Du 12 au 16 janvier 2022, Sophie Bourgenot vous invite à son solo show. L’artiste dessine in situ pour ressentir et capter le génie d’un lieu. De cette immersion, elle perçoit dans la gravité et la puissance, un élan de grâce et de légèreté. De même, dans le flux et les mouvements de l’eau des cascades, une fascinante pesanteur.

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David Godefroy & Arthur Deshayes

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David Godefroy et Arthur Deshayes sont des artistes jouant sur les formes et les textures pour créer un univers de représentations intemporelles, mélangeant éléments classiques et contemporains. Rapprochés l’un de l’autre pour leurs travaux sur les mutations, leur exposition vous fera découvrir toute l’étendue des formes corporelles abstraites. À voir absolument, du 16 au 20 février 2022 !

David Godefroy : Artiste intuitif avec un besoin irrépressible de canaliser une hyper sensibilité accrue après un incident personnel. Son œuvre est thérapeutique. À l’aide de son creuset numérique, il transmute ses émotions et ses réactions face aux événements contemporains, en âmes plastiques. Celles-ci viennent interroger notre propre regard et l’impact que nous pouvons avoir sur le monde qui nous entoure.

Les créations du sculpteur Arthur Deshayes mêlent pâte à modeler et objets de récupération dans un processus proche de l’alchimie. Il en émane un univers postmoderne joyeusement empli d’humour et de couleurs.

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FLEURS, NUITS, FEUILLAGES / Léa Zamolo & Alice Louradour

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Du 24 au 27 novembre 2021, Léa Zamolo et Alice Louradour nous présentent des travaux empruntés au mystère de la nuit, à la beauté des fleurs et à la joie des couleurs.

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« L’ancien monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres » / Thomas Rebischung

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« L’ancien monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ». Avec cette phrase de Gramsci, Thomas Rebischung nous donne à voir, du 1 au 5 décembre 2021, un univers habité de créatures étranges : en empruntant aux images médiévales leur caractère symbolique, il relie les représentations du passé et les problématiques contemporaines. Les multinationales deviennent des pieuvres sans têtes, les banques des trous noirs ; l’économie et l’écologie viennent croiser des démons et des djinns. Au travers de peintures et de dessins, il nous propose une plongée à la frontière de deux mondes, peuplée de récits fantastiques.

Thomas Rebischung est né à Paris en 1982. Il vit et travaille à Strasbourg. En 2003, il est diplômé d’un DMA à l’Ensaama (Ecole nationale supérieure des arts Appliqués et Métiers d’Art) Oliviers de Serres. Il conjugue sa passion pour le dessin et celle de la musique, et fonde avec ses camarades la Fanfare Haut Débit pour qui il réalisera dessins et affiches. 
Il s’expose alors dans l’espace public et réalise de nombreux collages de rue. Sa rencontre avec le street art lui permet de travailler pour de grands noms tels que Jonone, JR ou MTO grâce auxquels il approfondit sa pratique. Il collabore également à des productions pour le cinéma ou la télévision en tant que décorateur ou storyborder (M6, NRJ 12, EuropaCorp). En 2013, il fait la rencontre de la compagnie Lucamoros, qui travaille à montrer la peinture dans des spectacles de rue monumentaux. Aux détours des tournées, il colle ses monstres en France, Belgique, Espagne, Corée du Sud, Russie. Installé en Alsace, il peint de nombreuses fresques et expose le projet itinérant « Les pieds sur Terre » qui lui permet d’obtenir un atelier au sein du Bastion XIV à Strasbourg. En 2020 il crée la compagnie KIVAL avec le groupe Sdorvia Desko.

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Duo Corentin Pernet / Josselin de Courcy

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Corentin Pernet et Josselin de Courcy font partie de ces artistes nourris par la puissance visuelle du cinéma. Au travers de techniques picturales très variées comme autant de propositions de cinéastes, les deux jeunes artistes proposent des fragments fictionnels dans lesquels se perdre ou s’évader. Alors si les salles obscures vous manquent, venez vous plonger du 5 au 9 janvier 2022 dans les fantasmes visuels de ces deux artistes.

Corentin Pernet a étudié la bande dessinée à l’école Auguste Renoir et le Décor de cinéma à l’école de la Fémis, à Paris. Son travail personnel, riche en couleurs, emprunte aux codes du 7e Art et explore les liens visuels et narratifs tissés entre l’illustration, la bande dessinée et le cinéma.

Inspiré par l’inaccessible fantasme hollywoodien, les images qu’il récolte et les histoires qu’il glane ou invente, Josselin de Courcy crée par sa pratique artistique son propre cinéma permanent, ouvertement bancal, adolescent, rêveur. Notamment par la peinture et le dessin, il explore et interroge son amour du récit ainsi que son propre rapport à la fiction.

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Faux- Semblant / Gilles Mazzufferi & Yvonne Calsou

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Du 17 au 21 novembre 2021, Yvonne Calsou & Gilles Mazzufferi vous invitent à l’exposition Faux-Semblant, où chacune des œuvres, en fonction de la lumière, de la distance du regard, révèle tout un monde. Un monde se jouant du visible et de l’invisible, où s’entremêle présence et absence, conscient et inconscient. Un monde où, à travers un jeu de clair-obscur, est exploré le tréfonds de la nature humaine et de notre rapport au temps et à la mémoire.

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En cours

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Les expositions de janvier à mars à Openbach Galerie

Du 5 au 9 janvier 

Corentin Pernet et Josselin de Courcy 

Illustration 

 

Du 12 au 16 janvier 

Sophie Bourgenot 

Dessin 

 

Du 19 au 23 janvier 

Auchkatz studio et Alexandre Miraut Korobov 

Art contemporain 

 

Du 26 au 30 janvier 

Lionel Tritshler / Marc Petrusa / Jef Magné 

peinture 

 

Du 2 au 6 février 

Gaetan Gautelier / Violaine Desportes 

dessin 

 

Du 9 au 13 février 

Darry Perrier / Chufy / Luso

Abstract street art 

 

16 au 20 février 

Robinson Haas / Noémie Pilo 

Dessin & installation

 

Du 23 au 27 février 

David plastique / Arthur Deshayes

Sculpture & numérique

 

Du 2 au 6 mars 

Sabine Delahaut 

dessin 

 

Du 9 au 13 mars 

Iris d’Arbre / Sanneh Kebba

Dessin

 

Du 16 au 20 mars

Samet Adlane

Peinture

 

Du 23 au 27 mars 

Claire Duplouy 

peinture 

 

Du 30 mars au 3 avril 

Alice Vasseur 

Peinture et gravure

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Ready Made 2021

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Du 3 au 7 novembre 2021, une exposition entièrement consacrée au dessin d’objet. Vous y verrez des images simples et efficaces, des images pop, des images du quotidiens qui restent à tout jamais dans les mémoires.

 
Guillaume Vannier
Violaine Desportes
Tisto
Xavier de Kepper
Pierre Gregori
Etienne Boissier
Arthur Deshayes
Emmanuel Mousset

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Cécile Benoiton et Gisèle Bonin – Touché!

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Du 10 au 17 novembre, dans un délicat balais imaginaire, l’exposition rapproche les travaux récents en dessin de Gisèle Bonin et les vidéos de Cécile Benoiton.
Gisèle Bonin
Cécile Benoiton

Gisèle Bonin
« De l’outil vient, advient et vit l’image. Et inversement. C’est une interdépendance essentielle et primordiale… Vitale. De la sanguine et du graphite, compacts ou poudreux, naît et grandit le fragment : cette cassure, cette faille dans nos faux présents, car lacunaires, leurres d’une totalité et d’une vérité improbables. Ces bouts de soi passés mais bien là, qui font, incarnent et constituent l’histoire de chacun, sa densité toute humaine et fragile, son épaisseur intime et temporelle: ils répondent et correspondent à celles du dessin même. D’où le temps d’exécution de chaque pièce, son étirement maximal jusqu’à l’épuisement du sujet autant que du corps à l’œuvre… à l’atelier, au bout des doigts comme en tête. Là où “figurer”, “représenter” le corps, en s’éloignant de la tentation du portrait ou de la narration, signifierait, littéralement, rendre présent: l’être et sa désolation, son effroi et sa tendresse, sa fureur et sa douceur…la peau de ses secrets. Pour que, peut-être, ils se constituent en un volume d’intimité pour le regardeur comme pour moi, qu’ils deviennent palpables à l’œil… »
Cécile Benoiton
« L’observation du quotidien, l’infime, dans les actions, les gestes, les territoires, physiques, verbaux sont mis en jeu. Je traque la poésie de l’ordinaire, l’invisible dans le courant, l’absurde, tout ce qui contient un potentiel de matière de recherche et de transformation. Le process tout autant que les images finales sont importants. Ils sont soumis à des protocoles de travail précis – efficacité dans une durée limitée, peu d’effets artificiels, plans serrés, pas de dispersion. Le son est absent s’il n’est pas absolument nécessaire. La caméra, le téléphone, filment, capturent, exacerbent, témoignent. J’interroge l’image, le sens du langage, la forme par la vidéo, parfois le dessin, les mots. Le temps est étiré, devient compact et dense. J’organise un bras-le-corps, des glissements de sens et de territoires. Avec tout à la fois exigence et vif plaisir. »