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Les expositions de janvier à mars à Openbach Galerie

Du 5 au 9 janvier 

Corentin Pernet et Josselin de Courcy 

Illustration 

 

Du 12 au 16 janvier 

Sophie Bourgenot 

Dessin 

 

Du 19 au 23 janvier 

Auchkatz studio et Alexandre Miraut Korobov 

Art contemporain 

 

Du 26 au 30 janvier 

Lionel Tritshler / Marc Petrusa / Jef Magné 

peinture 

 

Du 2 au 6 février 

Gaetan Gautelier / Violaine Desportes 

dessin 

 

Du 9 au 13 février 

Darry Perrier / Chufy / Luso

Abstract street art 

 

16 au 20 février 

Robinson Haas / Noémie Pilo 

Dessin & installation

 

Du 23 au 27 février 

David plastique / Arthur Deshayes

Sculpture & numérique

 

Du 2 au 6 mars 

Sabine Delahaut 

dessin 

 

Du 9 au 13 mars 

Iris d’Arbre / Sanneh Kebba

Dessin

 

Du 16 au 20 mars

Samet Adlane

Peinture

 

Du 23 au 27 mars 

Claire Duplouy 

peinture 

 

Du 30 mars au 3 avril 

Alice Vasseur 

Peinture et gravure

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Ready Made 2021

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Du 3 au 7 novembre 2021, une exposition entièrement consacrée au dessin d’objet. Vous y verrez des images simples et efficaces, des images pop, des images du quotidiens qui restent à tout jamais dans les mémoires.

 
Guillaume Vannier
Violaine Desportes
Tisto
Xavier de Kepper
Pierre Gregori
Etienne Boissier
Arthur Deshayes
Emmanuel Mousset

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Cécile Benoiton et Gisèle Bonin – Touché!

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Du 10 au 17 novembre, dans un délicat balais imaginaire, l’exposition rapproche les travaux récents en dessin de Gisèle Bonin et les vidéos de Cécile Benoiton.
Gisèle Bonin
Cécile Benoiton

Gisèle Bonin
« De l’outil vient, advient et vit l’image. Et inversement. C’est une interdépendance essentielle et primordiale… Vitale. De la sanguine et du graphite, compacts ou poudreux, naît et grandit le fragment : cette cassure, cette faille dans nos faux présents, car lacunaires, leurres d’une totalité et d’une vérité improbables. Ces bouts de soi passés mais bien là, qui font, incarnent et constituent l’histoire de chacun, sa densité toute humaine et fragile, son épaisseur intime et temporelle: ils répondent et correspondent à celles du dessin même. D’où le temps d’exécution de chaque pièce, son étirement maximal jusqu’à l’épuisement du sujet autant que du corps à l’œuvre… à l’atelier, au bout des doigts comme en tête. Là où “figurer”, “représenter” le corps, en s’éloignant de la tentation du portrait ou de la narration, signifierait, littéralement, rendre présent: l’être et sa désolation, son effroi et sa tendresse, sa fureur et sa douceur…la peau de ses secrets. Pour que, peut-être, ils se constituent en un volume d’intimité pour le regardeur comme pour moi, qu’ils deviennent palpables à l’œil… »
Cécile Benoiton
« L’observation du quotidien, l’infime, dans les actions, les gestes, les territoires, physiques, verbaux sont mis en jeu. Je traque la poésie de l’ordinaire, l’invisible dans le courant, l’absurde, tout ce qui contient un potentiel de matière de recherche et de transformation. Le process tout autant que les images finales sont importants. Ils sont soumis à des protocoles de travail précis – efficacité dans une durée limitée, peu d’effets artificiels, plans serrés, pas de dispersion. Le son est absent s’il n’est pas absolument nécessaire. La caméra, le téléphone, filment, capturent, exacerbent, témoignent. J’interroge l’image, le sens du langage, la forme par la vidéo, parfois le dessin, les mots. Le temps est étiré, devient compact et dense. J’organise un bras-le-corps, des glissements de sens et de territoires. Avec tout à la fois exigence et vif plaisir. »
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SylC – LES LIENS SUBTILS

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LES LIENS SUBTILS est une exposition des travaux récents de l’artiste peintre SylC du 20 au 24 octobre 2021. Que ce soit au travers de la peinture, du dessin ou de la sculpture, l’artiste plasticienne cherche à révéler notre identité véritable, nos paradoxes et nos dualités. Son travail, teinté d’onirisme, dévoile ce qui ne se voit pas et s’attache à remonter jusqu’à l’origine des choses. L’artiste joue avec nos sens et fait appel à notre inconscient. En associant l’Humain à l’animal ou au végétal, SylC place au centre de ses recherches l’hybridation et la métamorphose, symboles de l’adaptation, du renouveau et de l’évolution de notre identité.
Née en France en 1973 et diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts Appliqués et des Métiers d’Arts Olivier de Serres à Paris SylC vit et travaille en Vallée de Chevreuse.
SylC collabore avec des galeries en France, en Europe et aux USA. À partir du début des années 2010, l’artiste consacre une grande partie de son travail à plusieurs projets thématiques ; en émergeront les séries : « Mothers « (2011-2013), « La ronde des chiens fous « (2013-2015), » Le parfum des saisons » (2013-2015), « Human Birds » (2013-2016), « Osmose(s) » (2016-2018) et « Avec ou sans cavalier » (2018-2019).
À l’invitation d’institutions publiques, son travail a été présenté dans le cadre d’expositions monographiques dans des lieux historiques en France tels que la Chapelle et le Cloître des Dames Blanches (Ville de la Rochelle), La Chapelle des Jésuites (Ville de Chaumont) ou encore Le Château d’Eau (Ville de Bourges). Présente dans des collections publiques (Villes du Mans, de la Rochelle, de Maisons-Laffitte, de Guyancourt) et privées, SylC est lauréate de nombreux prix en Suisse et en France, dont deux décernés par la Fondation Taylor. Quatre monographies ont été publiées sur ses travaux au cours des dernières années.
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Impressions Partagées

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Du 13 au 17 octobre 2021, découvrez quatre artistes de l’estampe contemporaine.
Un large éventail de techniques de gravures au service de quatre sensibilités, autant «d’images-univers», ou d’univers imaginaires à découvrir.
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Contrebande 2

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Ils sont de retour ! L’exposition Contrebande 2 a eu lieu du 6 au 10 octobre 2021… La jeune génération de la peinture contemporaine figurative. Des oeuvres urbaines et foisonnantes.

Etienne Boissier / Francesco Romano / Jill Chauvat / Pierre Gregori / Emmanuel Mousset

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Altération & Détournements Artistiques – Collectif X

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L’artiste a la capacité d’analyser la société dans laquelle il évolue et d’en faire ressortir des images fortes dont la portée cognitive résonne pour tous. Mais quand l’artiste s’amuse à lier plusieurs images, plusieurs temporalités, il dote l’œuvre de multiples niveaux de lecture. L’artiste réinvente notre capacité d’analyse et nous permet une seconde lecture des choses. Exposition du collectif X du 29 septembre au 3 octobre 2021.
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Camille bruat Athanasios

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Du 22 au 26 septembre 2021, Athanasios Kanakis et Camille Bruat présentent  « entre évolution et ruines ». Il ne s’agit pas d’une première rencontre, mais bien du premier dialogue entre le travail d’Athanasios Kanakis et de Camille Bruat. Tous deux se sont rencontrés dans les lieux les plus inattendus, à mille pieds sous terre aux Catacombes de Paris ou encore lors du groupe de recherche les « Inhabitants » dans lequel ils ont interrogés l’Ancienne École d’Architecture de Nanterre, résidus des années 70, dont la réhabilitation pose aujourd’hui question. Ce dialogue physique entre leurs réalisations se pose donc comme inévitable afin de dépasser les interrogations liées au lieu, et pouvoir, in fine, en percevoir les jonctions communes.

Camille Bruat

Camille, quant à elle, mène l’enquête en sillonnant la ville. Elle marche seule, d’un pas fluide et doux, pour que son corps et son esprit se répondent dans un seul mouvement, propice à l’éveil de la sensibilité, d’un rapport plus intime au monde, plus authentique. Optant pour la casquette de traductrice, elle témoigne. Ses dessins deviennent alors le sentiment de communion avec l’environnement dans lequel elle évolue. Animée par le désir profond de capter l’invisible, elle fusionne son corps humain à celui non-humain. Tandis que la ville, normée, est construite pour qu’on ne s’y égare pas, offre des repères, recèle de lieux nommés. Nombreux subterfuges mécaniques sont proposés aux passants pour accroître en vitesse et gagner du temps. Mais, la marche permet de voir au-delà de cette organisation de signifiants. Ainsi, lui échappe l’urbanité de ces espaces qu’elle traverse pour glisser vers un végétal englué de pétrole. Camille marche dans la ville, comme elle le ferait en forêt. C’est dans cette perspective, que ses dessins muent la vision d’un végétal hybride, aux protubérances organiques, inhérent au vivant. Dépendants du moment présent, ses pièces s’activent au grès du vent, tandis que les heures filantes d’une journée révèlent un minéral évolutif.

Athanasios Kanakis

Tiraillé par les hétérotopies, Athanasios Kanakis étudie les fragments géologiques. Ces sols sont sans cesse recouverts par différentes strates de temporalités. Différentes époques se chevauchent chacune avec une histoire à révéler ou non, uni par un seul et même processus. Il s’agit en quelque sorte d’un bricolage d’objets trouvés, composés de matériaux divers : la tôle ondulée, le plastique, l’argile, le métal et la pierre. Ce sont ces objets et ces matériaux qu’Athanasios expérimente. Enracinée dans le sol, artificielle, non-vivante, la ruine est la manifestation d’un monde artificiel, obsolète, en rupture totale avec son environnement. À travers des collages et des installations, Athanasios s’empare de ces fragments pour réécrire une histoire intemporelle et fictive. Il s’inspire du lieu pour produire un environnement architectural fragile et contemplatif, un lieu à la fois nouveau et immersif. Il souligne ainsi les fissures et les ruptures de l’espace quotidien, comme une porte ouverte pour donner naissance à une nouvelle construction.
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Résidence d’été 2021

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Lors de la résidence d’été 2021, l’OpenBach Galerie s’est transformé en un espace de création contemporaine ! Du 8 au 19 septembre, les visiteurs ont pu découvrir les œuvres inédites produites durant ces 10 semaines.