[pofo_section_heading pofo_heading_type= »heading-style2″ heading_preview_image= »heading-style2″ pofo_text_transform= »text-none » pofo_title_font_weight= »700″ pofo_title_element_tag= »h3″ pofo_heading= »Pauline Rivaux Solo Show » css= ».vc_custom_1695298486595{margin-top: 5% !important;margin-bottom: 5% !important;} »]
Pauline Riveaux, exposition du 25 au 29 mai 2022.
★ L’exposition ★
L’exposition présente une série de grandes toiles, «The fresh Burned Houses».
Réunies sous le titre de « Gymnopédies », hommage à Satie, qui fait écho à la fois aux danses spartes autour du feu, et à une façon musicale de travailler par la répétition et la déclinaison de motifs.
« Vladimir Jankélévitch disait du temps gnossien qu’il est «le temps immobile, stoppé dans l’ostinato d’une chorégraphie». L’artiste en utilisant la nature morte et le paysage pour décrire le joyeux drame de notre époque, crée de grands portraits d’enfants, des peintures d’architectures en ruines et de jeunes punks endormis. Le but était au début de questionner sa génération : perdue entre la mentalité d’après-guerre qui cherche le progrès à tout prix et une mentalité-fin-du-monde qui lutte avec la peur des résultats effectifs de ces mêmes progrès.
Choisissant la forme d’images à la fois d’isolement en privilégiant les espaces clos, les coins, les scènes de nuit, elle propose un point de vue en retrait, à la fois distancié et collé à la matière des choses. »
L’exposition présente une série de grandes toiles, «The fresh Burned Houses».
Réunies sous le titre de « Gymnopédies », hommage à Satie, qui fait écho à la fois aux danses spartes autour du feu, et à une façon musicale de travailler par la répétition et la déclinaison de motifs.
« Vladimir Jankélévitch disait du temps gnossien qu’il est «le temps immobile, stoppé dans l’ostinato d’une chorégraphie». L’artiste en utilisant la nature morte et le paysage pour décrire le joyeux drame de notre époque, crée de grands portraits d’enfants, des peintures d’architectures en ruines et de jeunes punks endormis. Le but était au début de questionner sa génération : perdue entre la mentalité d’après-guerre qui cherche le progrès à tout prix et une mentalité-fin-du-monde qui lutte avec la peur des résultats effectifs de ces mêmes progrès.
Choisissant la forme d’images à la fois d’isolement en privilégiant les espaces clos, les coins, les scènes de nuit, elle propose un point de vue en retrait, à la fois distancié et collé à la matière des choses. »
★ L’artiste ★
Née en 1984, Pauline Riveaux vit et travaille à Paris. En tant que peintre et graveur, elle a sa première exposition personnelle à la galerie Von Kraft, en Belgique en 2009 après avoir été découverte durant son échange à Berlin. Elle passe cette année le prix Marin.